img Laissons les romans inspirer notre transition

[Club de lecture écolo]

Laissons les romans inspirer notre transition !

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Le Cri du Colibri

Roman

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Le Cri du Colibri

Roman

Films, romans, BD …, quasi toutes les fictions présentent une version apocalyptique de notre futur. Avec option survivaliste ou option dictature. Le choix de rêve, quoi !!
Notre futur réagit comme notre voiture. On dirige notre véhicule là où s’oriente notre regard. Et si ce centrage de la fiction sur l’échec de notre résilience collective nous condamnait à aller … dans le fossé ?
Enclenchant ainsi une prophétie auto-réalisatrice : « pourquoi se bouger, c’est écrit d’avance, ça ne sert à rien de lutter. » Nous nous conditionnons collectivement à échouer à traverser cette crise écologique et sociale !

Dans ce contexte, écrire, lire et échanger sur de la fiction de résilience collective devient un acte militant, participant d’une saine écopsychologie, une sorte d’écologie du cerveau (qui reste à inventer et me passionne) !
A son niveau, le Club de lecture écolo, animé en numérique, fait sa part en proposant de : 

  • lire un livre par mois (alternativement un roman puis une BD)
  • prendre des notes sur la manière dont cette lecture questionne notre transition personnelle
  • partager en groupe de lecture ces confirmations et découvertes
  • et repartir avec un regard encore enrichi par les angles de vue de chacun, chacune

Avec un peu de recul, je me rends compte que la lecture de fictions de résilience collective répond à plusieurs enjeux pour les participant.e.s :

1. Il participe à une discipline de lecture et organise du temps pour penser la résilience collective. 5h de lecture et 1h30 d’échanges par mois, c’est toujours moins de temps passé à scroller des photos de chaton sur les réseaux sociaux !
2. Les fictions proposées aident notre cerveau à se projeter dans un futur alternatif, un futur de changement de cap. On participe au club de lecture comme à une salle de sport : il muscle notre cerveau avec une nouvelle « gamme » d’images mentales résilientes !
3. Au fil des fictions proposées, les participant.e.s découvrent des pratiques de résilience existant réellement. C’est tout un horizon de nouveaux possibles qui se construit au fil des pages et des échanges.
4. Ces lectures inspirent l’action individuelle, en cela elles créent des repères à transposer dans la vraie vie : « cette situation me fait penser à celle rencontrée par l’héroïne du livre du mois dernier« .
5. Et enfin, lire ces livres renforcent la détermination à agir : sur la logique « ils l’ont fait donc c’est possible ». Remettre l’utopie à sa juste place : pas irréalisable, juste pour l’instant irréalisée.
Rajoutons que ce club de lecture participe à faire connaitre et diffuser des auteurs militants et visionnaires. Ce qui est toujours ça de pris !

A mon niveau, ce club de lecture écolo, c’est le partage d’un petit bout de ma vie. Amoureuse des livres depuis toute petite, mon parcours a été jalonné par ces repères de papier.  Certains mots des auteurs ont provoqué un avant et un après dans ma vie, avec de nouvelles prises de conscience et des envies d’agir enfin assumées.
Depuis des années, je collectionne et recherche activement (mon libraire en est témoin !!) les rares fictions de résilience collective qui ouvrent notre regard sur un autre avenir possible. Pour rêver les yeux ouverts et agir ensemble au service de demain. C’est ce que je souhaite partager avec vous dans ce club de lecture écolo.

Films, romans, BD …, quasi toutes les fictions présentent une version apocalyptique de notre futur. Avec option survivaliste ou option dictature. Le choix de rêve, quoi !!
Notre futur réagit comme notre voiture. On dirige notre véhicule là où s’oriente notre regard. Et si ce centrage de la fiction sur l’échec de notre résilience collective nous condamnait à aller … dans le fossé ?
Enclenchant ainsi une prophétie auto-réalisatrice : « pourquoi se bouger, c’est écrit d’avance, ça ne sert à rien de lutter. » Nous nous conditionnons collectivement à échouer à traverser cette crise écologique et sociale !

Dans ce contexte, écrire, lire et échanger sur de la fiction de résilience collective devient un acte militant, participant d’une saine écopsychologie, une sorte d’écologie du cerveau (qui reste à inventer et me passionne) !
A son niveau, le Club de lecture écolo, animé en numérique, fait sa part en proposant de : 

  • lire un livre par mois (alternativement un roman puis une BD)
  • prendre des notes sur la manière dont cette lecture questionne notre transition personnelle
  • partager en groupe de lecture ces confirmations et découvertes
  • et repartir avec un regard encore enrichi par les angles de vue de chacun, chacune

Avec un peu de recul, je me rends compte que la lecture de fictions de résilience collective répond à plusieurs enjeux pour les participant.e.s :

1. Il participe à une discipline de lecture et organise du temps pour penser la résilience collective. 5h de lecture et 1h30 d’échanges par mois, c’est toujours moins de temps passé à scroller des photos de chaton sur les réseaux sociaux !
2. Les fictions proposées aident notre cerveau à se projeter dans un futur alternatif, un futur de changement de cap. On participe au club de lecture comme à une salle de sport : il muscle notre cerveau avec une nouvelle « gamme » d’images mentales résilientes !
3. Au fil des fictions proposées, les participant.e.s découvrent des pratiques de résilience existant réellement. C’est tout un horizon de nouveaux possibles qui se construit au fil des pages et des échanges.
4. Ces lectures inspirent l’action individuelle, en cela elles créent des repères à transposer dans la vraie vie : « cette situation me fait penser à celle rencontrée par l’héroïne du livre du mois dernier« .
5. Et enfin, lire ces livres renforcent la détermination à agir : sur la logique « ils l’ont fait donc c’est possible ». Remettre l’utopie à sa juste place : pas irréalisable, juste pour l’instant irréalisée.
Rajoutons que ce club de lecture participe à faire connaitre et diffuser des auteurs militants et visionnaires. Ce qui est toujours ça de pris !

A mon niveau, ce club de lecture écolo, c’est le partage d’un petit bout de ma vie. Amoureuse des livres depuis toute petite, mon parcours a été jalonné par ces repères de papier.  Certains mots des auteurs ont provoqué un avant et un après dans ma vie, avec de nouvelles prises de conscience et des envies d’agir enfin assumées.
Depuis des années, je collectionne et recherche activement (mon libraire en est témoin !!) les rares fictions de résilience collective qui ouvrent notre regard sur un autre avenir possible. Pour rêver les yeux ouverts et agir ensemble au service de demain. C’est ce que je souhaite partager avec vous dans ce club de lecture écolo.

Films, romans, BD …, quasi toutes les fictions présentent une version apocalyptique de notre futur. Avec option survivaliste ou option dictature. Le choix de rêve, quoi !!
Notre futur réagit comme notre voiture. On dirige notre véhicule là où s’oriente notre regard. Et si ce centrage de la fiction sur l’échec de notre résilience collective nous condamnait à aller … dans le fossé ?
Enclenchant ainsi une prophétie auto-réalisatrice : « pourquoi se bouger, c’est écrit d’avance, ça ne sert à rien de lutter. » Nous nous conditionnons collectivement à échouer à traverser cette crise écologique et sociale !

Dans ce contexte, écrire, lire et échanger sur de la fiction de résilience collective devient un acte militant, participant d’une saine écopsychologie, une sorte d’écologie du cerveau (qui reste à inventer et me passionne) !
A son niveau, le Club de lecture écolo, animé en numérique, fait sa part en proposant de : 

  • lire un livre par mois (alternativement un roman puis une BD)
  • prendre des notes sur la manière dont cette lecture questionne notre transition personnelle
  • partager en groupe de lecture ces confirmations et découvertes
  • et repartir avec un regard encore enrichi par les angles de vue de chacun, chacune

Avec un peu de recul, je me rends compte que la lecture de fictions de résilience collective répond à plusieurs enjeux pour les participant.e.s :

1. Il participe à une discipline de lecture et organise du temps pour penser la résilience collective. 5h de lecture et 1h30 d’échanges par mois, c’est toujours moins de temps passé à scroller des photos de chaton sur les réseaux sociaux !
2. Les fictions proposées aident notre cerveau à se projeter dans un futur alternatif, un futur de changement de cap. On participe au club de lecture comme à une salle de sport : il muscle notre cerveau avec une nouvelle « gamme » d’images mentales résilientes !
3. Au fil des fictions proposées, les participant.e.s découvrent des pratiques de résilience existant réellement. C’est tout un horizon de nouveaux possibles qui se construit au fil des pages et des échanges.
4. Ces lectures inspirent l’action individuelle, en cela elles créent des repères à transposer dans la vraie vie : « cette situation me fait penser à celle rencontrée par l’héroïne du livre du mois dernier« .
5. Et enfin, lire ces livres renforcent la détermination à agir : sur la logique « ils l’ont fait donc c’est possible ». Remettre l’utopie à sa juste place : pas irréalisable, juste pour l’instant irréalisée.
Rajoutons que ce club de lecture participe à faire connaitre et diffuser des auteurs militants et visionnaires. Ce qui est toujours ça de pris !

A mon niveau, ce club de lecture écolo, c’est le partage d’un petit bout de ma vie. Amoureuse des livres depuis toute petite, mon parcours a été jalonné par ces repères de papier.  Certains mots des auteurs ont provoqué un avant et un après dans ma vie, avec de nouvelles prises de conscience et des envies d’agir enfin assumées.
Depuis des années, je collectionne et recherche activement (mon libraire en est témoin !!) les rares fictions de résilience collective qui ouvrent notre regard sur un autre avenir possible. Pour rêver les yeux ouverts et agir ensemble au service de demain. C’est ce que je souhaite partager avec vous dans ce club de lecture écolo.