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Le Cri du Colibri

Roman

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Le Cri du Colibri

Roman

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Le Cri du Colibri

Roman

Pour moi, c’est THE roman de résilience collective ! Quasiment tous les sujets sont abordés et le roman permet de projeter un avenir en dehors du modèle capitaliste.

 

Lors du club de lecture, ce roman a vraiment fait écho avec les réflexions des participant.e.s. Je vous partage quelques pépites ! 

 

Le Cri du Colibri a permis de belles découvertes (ah ça existe, ça ? j’y aurai pas pensé !) : par exemple, la gestion du gite en prix libre et conscient a été une belle surprise ! Dans le roman, la méthode et les résultats sont assez détaillés et de nombreux « vrais gens » peuvent témoigner qu’avec quelques encadrements, ça fonctionne. Autres découvertes : la centrale hydro électrique villageoise (eh oui, on peut mettre en commun de l’argent, acheter du matériel et produire notre énergie !), mais aussi les échanges en troc, l’école ouverte …


Ce roman a aussi amené de chouettes confirmations : les démarches de sobriété, de production potagère, de transformation des aliments déjà lancées par les participant.e.s vont dans le sens de plus de résilience. Autres confirmations : le noel centré sur les valeurs (et pas sur la conso !) . Et c’est (pour l’instant !) tellement à contre courant des pratiques majoritaires que ces petits rappels font du bien au moral !
A noter aussi, de petits moments de frousse par anticipation : euh il se passe quoi en terme de sécurité si notre système s’effondre ? Pillages, prédations, destructions, comment préserver ceux qu’on aime et ce qu’on a construit de ces dérives ? Et encore, dans le Cri du Colibri, cette partie est très très romancée et finit positivement ! Pourtant, ça a réveillé de fortes peurs …


Quelques interrogations pour finir : c’est fou, ils s’engueulent assez peu dans ce groupe, comment font-ils ? Le Cri du Colibri diffuse la (re)découverte de la communication non violente (en mode street girafe !) et ça marche ! Exprimer ses émotions au fur et à mesure, ça aide à ne pas laisser monter la pression de la cocotte minute interne ! Et c’est tout le collectif qui y gagne !


Vous avez lu le livre et vous avez envie d’en discuter ? 

Pour moi, c’est THE roman de résilience collective ! Quasiment tous les sujets sont abordés et le roman permet de projeter un avenir en dehors du modèle capitaliste.

Lors du club de lecture, ce roman a vraiment fait écho avec les réflexions des participant.e.s. Je vous partage quelques pépites ! 

 

Le Cri du Colibri a permis de belles découvertes (ah ça existe, ça ? j’y aurai pas pensé !) : par exemple, la gestion du gite en prix libre et conscient a été une belle surprise ! Dans le roman, la méthode et les résultats sont assez détaillés et de nombreux « vrais gens » peuvent témoigner qu’avec quelques encadrements, ça fonctionne. Autres découvertes : la centrale hydro électrique villageoise (eh oui, on peut mettre en commun de l’argent, acheter du matériel et produire notre énergie !), mais aussi les échanges en troc, l’école ouverte …

Ce roman a aussi amené de chouettes confirmations : les démarches de sobriété, de production potagère, de transformation des aliments déjà lancées par les participant.e.s vont dans le sens de plus de résilience. Autres confirmations : le noel centré sur les valeurs (et pas sur la conso !) . Et c’est (pour l’instant !) tellement à contre courant des pratiques majoritaires que ces petits rappels font du bien au moral !
A noter aussi, de petits moments de frousse par anticipation : euh il se passe quoi en terme de sécurité si notre système s’effondre ? Pillages, prédations, destructions, comment préserver ceux qu’on aime et ce qu’on a construit de ces dérives ? Et encore, dans le Cri du Colibri, cette partie est très très romancée et finit positivement ! Pourtant, ça a réveillé de fortes peurs …

Quelques interrogations pour finir : c’est fou, ils s’engueulent assez peu dans ce groupe, comment font-ils ? Le Cri du Colibri diffuse la (re)découverte de la communication non violente (en mode street girafe !) et ça marche ! Exprimer ses émotions au fur et à mesure, ça aide à ne pas laisser monter la pression de la cocotte minute interne ! Et c’est tout le collectif qui y gagne !

Vous avez lu le livre et vous avez envie d’en discuter ? 

Pour moi, c’est THE roman de résilience collective ! Quasiment tous les sujets sont abordés et le roman permet de projeter un avenir en dehors du modèle capitaliste.

Lors du club de lecture, ce roman a vraiment fait écho avec les réflexions des participant.e.s. Je vous partage quelques pépites ! 

 

Le Cri du Colibri a permis de belles découvertes (ah ça existe, ça ? j’y aurai pas pensé !) : par exemple, la gestion du gite en prix libre et conscient a été une belle surprise ! Dans le roman, la méthode et les résultats sont assez détaillés et de nombreux « vrais gens » peuvent témoigner qu’avec quelques encadrements, ça fonctionne. Autres découvertes : la centrale hydro électrique villageoise (eh oui, on peut mettre en commun de l’argent, acheter du matériel et produire notre énergie !), mais aussi les échanges en troc, l’école ouverte …

Ce roman a aussi amené de chouettes confirmations : les démarches de sobriété, de production potagère, de transformation des aliments déjà lancées par les participant.e.s vont dans le sens de plus de résilience. Autres confirmations : le noel centré sur les valeurs (et pas sur la conso !) . Et c’est (pour l’instant !) tellement à contre courant des pratiques majoritaires que ces petits rappels font du bien au moral !


A noter aussi, de petits moments de frousse par anticipation : euh il se passe quoi en terme de sécurité si notre système s’effondre ? Pillages, prédations, destructions, comment préserver ceux qu’on aime et ce qu’on a construit de ces dérives ? Et encore, dans le Cri du Colibri, cette partie est très très romancée et finit positivement ! Pourtant, ça a réveillé de fortes peurs …

Quelques interrogations pour finir : c’est fou, ils s’engueulent assez peu dans ce groupe, comment font-ils ? Le Cri du Colibri diffuse la (re)découverte de la communication non violente (en mode street girafe !) et ça marche ! Exprimer ses émotions au fur et à mesure, ça aide à ne pas laisser monter la pression de la cocotte minute interne ! Et c’est tout le collectif qui y gagne !

Vous avez lu le livre et vous avez envie d’en discuter ?