Atelier « de la colère écologique à l’écologie de la colère »

Atelier du 8 décembre 2021, 20h- 22h : réservez votre place !

A qui s’adresse cette proposition ?

Si tu te reconnais dans ces descriptions, c’est pour toi.

  • Tu bouillonnes sur place quand tu lis / vois des informations sur la situation écologique qui se dégrade et comme les sujets sont de plus en plus nombreux, tu prends 2° degrés comme le climat …
  • Tu sens une sourde colère en toi, contre un peu tout le monde : les politiciens (mais ils font quoi, là ?), les entreprises, les citoyens trop mous et un peu toi aussi, qui ne fait pas assez pour que ça change. Le fait de faire partie du problème (comme moi d’ailleurs) te fait bien culpabiliser aussi.
  • Tu ne sais pas trop quoi faire de cette colère, tes ongles n’en peuvent plus (ou tes cheveux ou ta peau, bref, tu somatises à ta manière !), tes potes ou ta famille en ont marre de ces discussions “tout va mal dans le monde”.

Qu’est-ce que l’atelier peut t’apporter ?

  • Prendre le temps de mettre des mots sur ta colère et les sujets sur lesquels elle se cristallise. Mettre des mots, c’est déjà un pas pour éviter que ça se transforme en “maux”.
  • Faire le point sur le fonctionnement de la colère, car on met tout et rien sous ce terme : violence, rumination, irritation, culpabilité …. Et comme, on est beaucoup à avoir retenu le message “la colère, c’est mal, pas poli, pas féminin (si t’es concerné), etc …” ça devient un méga tabou. Mais une émotion tabou, c’est comme le principe de la cocotte minute, la tension monte, monte et ppppppffffff !
  • Apprendre à écouter le “message” de ta colère, à la vivre à fond pour tordre le coup à ce proverbe qui évacue le truc un peu trop rapidement “la colère est mauvaise conseillère”. Si la colère était un voyant sur le tableau de bord de ta voiture intérieure, il signifierait quoi pour toi ? Pour moi, un principe de base de l’écologie, c’est “ne pas créer de déchets”. Or notre traitement actuel de la colère (#CocotteMinute) crée un max de déchets intérieurs (tensions, maladies …), relationnels(conflits, perte de liens …) et civilisationnels (ouh le grand mot ! en gros la société va – aussi – dans le mur parce qu’on ignore ce fichu voyant allumé sur le tableau de bord depuis des décennies).

Comment ça se passe, concrètement ?

  • Lors de ton inscription en ligne, tu reçois le lien zoom auquel te connecter 5 minutes avant le début de l’atelier
  • Pour commencer, je vous ferai un retour sur les “résultats” du questionnaire que vous aurez rempli en amont (voir prochain point !), y compris mes résultats perso. Tu vas te rendre compte que tu n’es pas tout.e seul.e à vivre cette colère écologique. Et qu’elle fait beaucoup de dégâts chez les autres aussi …
  • Ensuite, on fera connaissance par 2 ou 3 personnes pour exprimer sa propre colère (coups de gueule et gros mots totalement autorisés avec un petit cadre de sécurité en prime pour que tout le monde soit à l’aise !)
  • Je partagerai ensuite toutes les informations que j’ai recherchées sur ce sujet de la colère écologique. Etant moi-même une graaaaande colérique, j’ai beaucoup cherché comment m’auto-accompagner sur ce sujet. Deux trois pépites en perspective 😉
  • On reviendra ensuite en petits groupes pour partager sur cette idée de colère comme voyant du tableau de bord. Qu’est-ce que ça te donne envie de faire ? Quel est le message de la colère et l’action qu’elle t’invite à poser ?
  • Et enfin, on arrive à mon moment préféré : le partage en grand groupe !! Pour pouvoir s’inspirer des bonnes idées des autres pour avancer sur une meilleure écologie de la colère. Je partagerai aussi mes idées et stratégies actuelles, d’ailleurs !

Ce que je conseille avant de se lancer ?

  • Compléter le questionnaire pour savoir où tu en es dans ta colère écologique. Prends le temps de le remplir calmement, peut-être même en plusieurs fois. Observer ta colère est vraiment la première étape !

8 décembre 20h/22h - Réservez votre séance Atelier « de la colère écologique à l’écologie de la colère »

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